Gene Simmons of KISS and Neil Young have announced they are leaving X (formerly Twitter) following Elon Musk’s endorsement of an anti-Semitic conspiracy theory. Musk supported a post claiming Jewish communities promote “hatred against whites,” known as the “great replacement” theory. Simmons did not specify why he was leaving but simply announced, “I’ve decided to end my X/Twitter posting.” Young also revealed his departure on his website, stating, “We are stopping all use of X we can control,” criticizing Musk’s stance.

Young shared a message urging reconciliation and focusing on unity for the future. Musk’s comments sparked backlash, with the White House condemning the promotion of hate. Following the controversy, major companies like Disney and Warner Bros pulled ads from the platform, citing concerns over anti-Semitic content. Musk has denied being anti-Semitic, claiming his remarks were aimed at groups like the Anti-Defamation League, not all Jewish people. He also threatened legal action against media outlets reporting on the issue.

Gene Simmons, membre du groupe emblématique KISS, et Neil Young, légende du rock, ont tous deux annoncé leur départ de la plateforme X (anciennement Twitter), après que son propriétaire, Elon Musk, ait soutenu une théorie complotiste antisémite. Musk a apporté son soutien à une publication affirmant que les communautés juives promeuvent “la haine contre les blancs”, une théorie du “grand remplacement”, largement discréditée et associée à des idées racistes et antisémites. Bien que Simmons n’ait pas donné de détails précis sur les raisons de son départ, il a simplement déclaré qu’il mettait fin à ses publications sur la plateforme. De son côté, Neil Young a expliqué sa décision via son site internet, précisant : “Nous arrêtons toute utilisation de X que nous pouvons contrôler” et a exprimé son mécontentement face aux prises de position de Musk.

Le départ de ces deux grandes figures de la musique soulève des questions sur la direction que prend la plateforme X sous la direction de Musk. La publication de ce soutien à une théorie conspirationniste antisémite a provoqué une onde de choc à travers le monde. Musk, qui a racheté Twitter en 2022, s’est retrouvé au centre d’une polémique qui a attiré l’attention de nombreux observateurs, dont des représentants de la Maison Blanche. Ce dernier a exprimé sa désapprobation concernant la promotion de discours de haine, un acte qui a aussi attiré des critiques de la part de nombreuses personnalités publiques et organisations.

En réponse à ces accusations, Musk a défendu ses commentaires, niant toute forme d’antisémitisme. Selon lui, ses remarques visaient des groupes comme la Ligue Anti-Diffamation (ADL), mais n’étaient pas dirigées contre l’ensemble de la communauté juive. Cependant, cette explication n’a pas suffi à apaiser les tensions, et plusieurs entreprises, dont Disney et Warner Bros, ont pris la décision de retirer leurs publicités de la plateforme X. Ces géants de l’industrie ont exprimé leur inquiétude face à la propagation de contenu antisémite et à l’environnement de plus en plus polarisé qui se développe sur le site.

La situation est d’autant plus complexe que les actions de Musk ont suscité des débats sur la liberté d’expression et les responsabilités des dirigeants de réseaux sociaux. Alors que certains défendent le droit à une discussion ouverte, d’autres dénoncent le rôle des plateformes dans la diffusion de discours de haine. Musk, connu pour ses prises de position controversées et ses polémiques publiques, a d’ores et déjà menacé de poursuivre en justice les médias qui relayent ces accusations à son encontre. Selon lui, les attaques à son égard sont injustifiées et exagérées.

Cette controverse souligne aussi une fracture croissante dans l’utilisation des réseaux sociaux. De plus en plus de personnalités publiques, entreprises et utilisateurs choisissent de quitter ou de limiter leur présence sur des plateformes comme X en raison des opinions et des décisions controversées de Musk. Cette dynamique pourrait avoir un impact significatif sur l’avenir de la plateforme et sur la manière dont elle sera perçue par le grand public. Alors que la liberté d’expression reste un principe clé des réseaux sociaux, le défi consiste à trouver un équilibre entre ce droit et la prévention des discours de haine qui peuvent se propager à grande échelle.